Maxime, ENSIBS

J’ai choisi d’intégrer l’ENSIBS car c’est une école d’ingénieurs publique en cybersécruité et il y en a peu en France. L’ENSIBS m’offre une formation très solide en complément de mon IUT informatique. J’ai pu, via les aspects ingénierie système et ingénierie des logiciels de confiance, développer une solide compétence en architecture des systèmes logiciels, dans le cadre de projets, mais aussi à l’étranger dans le cadre d’un stage dans une PME anglaise. »

Amaury, ESIX Normandie

C’est grâce à l’ESIX Normandie que j’ai découvert la vie associative : des projets, une dynamique de groupe, de l’investissement avec un fort enrichissement personnel. En travaillant pour l’ADEIC (Association Des Elèves Ingénieurs de Cherbourg) on se sent très rapidement au sein d’une grande famille. L’école en est une aussi. C’est un lieu accueillant où vous vous sentirez très vite chez vous. Vous aurez l’occasion de lier de fortes amitiés avec une vie sociale développée. C’est en menant ce genre de projets que vous ferez la lumière sur vos compétences de futur ingénieur.

Nelly Bergeot et Anne-Sophie Loyant, Expectra Nantes

Les jeunes diplômés d’une école d’ingénieurs trouvent-ils facilement du travail ?
Oui, plus facilement que d’autres diplômés. Cependant, les jeunes manquent souvent de pratique. C’est pourquoi les stages réalisés par les élèves-ingénieurs au cours de leurs études sont si importants.

Est-ce que la crise économique a joué sur l’embauche des jeunes ingénieurs ?
Aujourd’hui les demandes reviennent mais les employeurs sont aussi plus exigeants. Nous conseillons vivement de bien choisir ses stages, car avoir une première expérience professionnelle est un plus. L’apprentissage est également très apprécié. Même un petit boulot de 2 ou 3 mois est bon à prendre pour découvrir les réalités du terrain.

Quels sont les secteurs d’ingénierie qui recrutent le plus ?
L’informatique, l’environnement (énergies propres, traitement des eaux, etc.), le BTP et dans la filière administrative le contrôle de gestion. Depuis une vingtaine d’années, il y a une pénurie de candidats dans le béton, la charpente et le CVC (chauffage ventilation climatisation), alors que les entreprises dans ces domaines sont toujours à la recherche de nouveaux ingénieurs. Enfin, on peut aussi noter que d’ici 3 à 4 ans beaucoup de personnes vont partir à la retraite et libérer des postes.

Quel est l’intérêt de se spécialiser ?
Les demandes des entreprises sont très précises. Il faut aller dans les niches où les autres ingénieurs ne vont pas pouvoir répondre aux offres des entreprises.

(Expectra est le premier réseau spécialisé de recrutement de hautes compétences de l’hexagone, Ndlr)

Daphné, ESIAB

Diplômée de l’ESIAB (École Supérieure d’Ingénieurs en Agroalimentaire de Bretagne atlantique) en 2023, Daphné est Ingénieure Qualité chez Mondelez, numéro un mondial de la fabrication de biscuits (LU, Milka, Prince, Delacre, Ferrero, …)

Quelles sont tes missions ?

Je suis actuellement en charge de la sanitation du site de fabrication, de la gestion des prestataires liés au nettoyage des lignes de fabrication et de la sécurité des aliments en Loire-Atlantique.

Quel est ton parcours?

J’ai effectué une classe préparatoire BCPST à Nancy avec comme objectif initial : la formation vétérinaire, puis en cours de cursus, je me suis réorientée vers l’agroalimentaire qui semblait davantage répondre à mes attentes.

J’ai postulé à l’ESIAB car c’était la seule formation proposant une combinaison unique : microbiologie et qualité. Le contenu de la formation tout comme la diversité des cours m’intéressait tout particulièrement.

Quels sont les points forts de l’ESIAB?

La formation a répondu à mes exigences car les cours étaient complets et sérieux, les enseignants chercheurs sont à l’écoute et l’ambiance est conviviale. Les forces de cette école d’ingénieurs résident dans la délivrance d’un diplôme d’ingénieur polyvalent et généraliste, permettant de toucher à tous les aspects de la qualité et de la microbiologie, aussi bien dans le domaine de l’agroalimentaire, que de la cosmétique, la santé….Le taux d’insertion à la suite de la formation est très correct (95% dès la sortie d’école), j’ai effectivement rebondi rapidement avec un poste en CDI dans une grande multinationale, Mondelez, numéro un mondial dans la fabrication de biscuits.

Voir la plaquette.

Jérôme MONCEAUX, ENSIM

Mes études à l’École Nationale Supérieure d’Ingénieurs du Mans m’ont apportées bien plus que ce que j’imaginais. J’y ai découvert l’optique, l’électromagnétique, la physique et les mathématiques des ondes, les systèmes de mesure de notre monde (capteurs) et leurs principes sous-jacents, la mécanique des solides déformables, l’analyse numérique, la programmation, etc.

Je suis aujourd’hui consultant en recherche et développement et je dirige l’équipe de recherche pluridisciplinaire et transversale qui travaille sur le projet Nao, pour la société Aldebaran-robotics.

ndlr : Jérôme MONCEAUX est sorti diplômé de l’ENSIM en 2001.
© Aldebaran-robotics